Denise Dusauchoy réagit à la plainte déposée en sa charge à partir du Bruxelles.
Par | Le vendredi, 21 février 2020 à 18:11 | Commentaires (0) | Société
C’est à la Cour de cassation qu’une plainte contre la « journaliste » Denise DUSAUCHOY a été déposée le matin de ce vendredi 21 Février 2020 par un Maître Avocat de Kinshasa et elle a vite réagi.
24 heures n’ont pas suffi pour que l’affaire DUSAUCHOY prenne une autre ampleur, les réactions viennent de partout et ailleurs suite aux propos qu’a tenus la « journaliste » Denise DUSOCHOY dans une vidéo faisant l’apologie de la violence sexuelle à l’Est de la République Démocratique du Congo à l’heure où le monde entier compense avec la femme de cette région.
Pour ce, un Maître Avocat au nom de Chris SHEMATSI résidant à Kinshasa dans la commune de Limeté a déposé une plainte contre cette « journaliste » belgo-française d’origine Congolaise (originaire du centre de la RDC au KASAÏ) Denise Dusauchoy accompagnée d’une clef USB contenant une vidéo structurée en trois moments forts où trois types d’infraction sont à évoquer :
- La stigmatisation des congolais originaires de l’Est ;
- Insultes nauséabondes à l’endroit des congolais originaires de l’Est ;
- Propos inqualifiables contre les victimes des violences sexuelles de l’Est ;
Des faits dont la teneur infractionnelle n’est pas à démontrer notamment pour ce qui est des outrages publics en vertu de l’article 176 du Code pénal Congolais Livre II.
Cependant la concernée qui séjournait au Katanga s’est déjà envolée à Bruxelles où elle est résidante et a tenu à démystifier cette plainte en travers une session live-facebook qu’elle a organisé en peine arrivée dans la capitale Belge.
Elle demande à l’Avocat initiateur de la plainte de lui faire parvenir sa copie ou de lui demander son adresse de Bruxelles pour vu qu’il puisse l’expédier sa plainte. Dans ses dires, la journaliste affirme même qu’elle ne pourra pas se présenter à la Cour de Cassation car ce n’est pas un organe judiciaire destiné à attendre les simples journalistes comme elle mais plutôt les détenteurs du pouvoir œuvrant dans les grandes institutions du pays telles que les Sénateurs, les députés, les Ministres,… .
Toutefois, les différentes structures luttant contre les violences sexuelles faites à la femme n’ont pas encore réagi mais il y aura du boire et à manger dans cette affaire.